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Articles récents publiés par Nathalie Meer

Extraits de sa réflexion pour vous aider à y voir plus clair

Portrait of Senior Woman

Le 15 février 2024

« Faux-stress » ? Kezako ? A bon parce qu’il y a aussi un « vrai-stress » donc ?

Pour la Méthode Meer®, il est fondamental d’apprendre à faire la différence entre ces deux types

de stress. En effet, le premier vous fait prendre du poids, le second est tout à fait naturel et

même indispensable à votre survie.

Il est possible de confondre une « vrai-faim » : manger pour se maintenir en bonne santé et

manger sainement et une « fausse-faim » qui vient combler tous les ressentis négatifs

émotionnels. C’est bien sûr cette dernière qui fait prendre du poids.

Avec la Méthode Meer® sortir durablement des obsessions liées à la nourriture et du surpoids

c’est apprendre à mieux se comprendre et agir sur les causes profondes du surpoids.

Middle Aged Woman

Le 27 février 2024

Le mot ressource à une signification très différente pour la science de l’épigénétique. Les ressources signifient

notre capacité à activer nos gènes pour agir en conformité avec notre programme d’être humain. Lorsque nos

comportements sont inadaptés, c’est que nos ressources sont rendues silencieuses et qu’il va être nécessaire

de les réactiver. Lorsque vous ressentez le besoin irrépressible de manger, alors que vous sortez de table ou

que vous n’avez pas faim, c’est que votre cerveau n’utilise pas la bonne ressource pour gérer la situation qui

se présente à vous. Il est temps de faire de nouveaux apprentissages pour que vous cessiez de détourner la

nourriture et la fonction de la nutrition à d’autres fins que celle de nourrir vos cellules.

Petite fille au supermarché

Le 6 Février 2024

La science de l’épigénétique est reconnue par les neurosciences depuis 2001.

L’épigénétique, c’est ce que l’on appelle couramment, la science au-dessus des gènes. Les

épigénéticiens ont prouvé que les stress importants inscrivaient leurs marques directement sur nos

gènes. Ces transmissions permettent à la génération d’après d’avoir une connaissance comme

instinctive, quasi innée, de ce qu’il faut éviter. Par exemple lorsqu’il y a eu des famines, il peut être

transmis à la descendance des comportements de vigilance autour de la nourriture. Des

comportements comme l’obsession à la nourriture injustifiée, besoin de stocker de grandes quantités

dans les placards, un besoin d’avoir un réfrigérateur plein à craquer, l’envie de manger en continu, ne

pas pouvoir s’arrêter, etc., et des réactions de protection, tel qu’avoir « son garde-manger sur soi »

montrent que le programme épigénétique de la peur de manquer de nourriture est activé

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